Nothing Else Matters...

Figurant sur l'album éponyme du groupe (sorti en 1991.) Nothing else matters est considéré comme le symbole d'un changement pour certains Metalhead fan du groupe.

C'est James Hetfield (le frontman de Metallica ) qui a ecrit cette chanson alors qu'il était en tournée loin de sa petite amie.

Elle est néanmoins reprise par de nombreux artistes avec plus ou moins de réussite (Shakira si tu m'entends...).

Nothing Else Matters est une des rares chansons où le solo est joué par James Hetfield.

En live, bien qu'elle est quasi identique a chaque prestations, certaines version méritent le coup d'oeil, quelque chose de différent se fait ressentir... Voici un petit regroupement de celle ci.

Je vais commencer par la version joué avec l'Orchestre Symphonique de San Francisco.
Les violons,violoncelle et autre instruments de l’orchestre renforce l’atmosphère un peu ténébreuses de la chanson.

C'était en 2007 au Stade Wembley de Londre, plusieurs artistes sont réunis pour un concert a l'objectif écologique (A noter le magnifique écran lumineux derrière la scène... on a pas la même visions d'écologie. 

Dans cette version on voit le groupe bouger comme ils ne l'ont jamais fait sur Nothing Else Matters, la voix de James Hetfield est sans doute le point noir de cette version mais c'est aussi une des rares fois où il l'a joue debout.

Metallica aura tout réussie ce jour la à Sofia. Entre une interprétations de One spectaculaire et un Sad But True parfaitement maitrisé le groupe confirme sa réussite avec Nothing Else Matters. 

Dernière versions, précédé d'un solo de basse de Jason Newsted et un petit jam entre lui et Kirk, c'est un James a la moustace qui va mener efficacement Nothing Else Matters à son apogée.